Soutien d’Amnistie internationale
Samedi 12 décembre se tiendra le marathon de l’écriture dans plusieurs villes au Québec. Ce marathon organisé par Amnistie internationale, qui soutien Nathalie permet d’acheminer des cartes à Nathalie en Arabie et ainsi lui transmettre vos soutiens et encouragements.
Voici la page d’accueil du marathon, ainsi que la fiche sur Nathalie écrite par Amnistie internationale.
On vous attend en grand nombre au marathon de l’écriture:
- St-jean-Sur-Richelieu, le samedi le 12 décembre de 10h à 16h00 aux halles de St-jean
- Ville de Québec, le 13 décembre de 9h30 à 16h30 à la Place Jacques Cartier
- Montréal: le 12 décembre de 10h à 17h au café Laika
- et d’autres adresses partout au Québec
**Indiquez que vous souhaitez que les cartes lui soient remises en mains propres**
Si vous les déposer samedi à Amnistie lors du marathon:
À l’attention de Nathalie Morin
Ambassade du Canada
Enceinte diplomatique
Riyad, Arabie saoudite
Si vous les envoyez directement par le service postal:
À l’attention de Nathalie Morin
Ambassade du Canada
PO Box 94321
Riyad, 11693, Arabie Saoudite
Soutien à Nathalie le 12 décembre avec Amnistie internationale
Le 10 décembre prochain se tient la journée annuelle des droits de l’homme. Pour souligner cette journée, Amnistie internationale organise des marathons d’écriture.
Le prochain à Montréal se déroule au très chaleureux café Laika, coin boulevard St-Laurent et rue Duluth de 10 à 17h samedi 12 décembre. Lors de cet évènement des cartes pour Nathalie seront signées.
Les cartes seront ensuite envoyées à Nathalie par l’entremise de l’ambassade canadienne à Ryiadh, il y aura aussi une lettre envoyée à l’ambassade saoudienne à Ottawa. Ces lettres seront donc à la fois un énorme soutien à Nathalie et ses enfants qui pourront les lire à Noël, mais aussi un message fort au gouvernement saoudien.
Pour ceux qui ne peuvent pas venir sur Montréal, il y a la possibilité de se rendre soit:
- St-jean-Sur-Richelieu, le samedi le 12 décembre de 10h à 16h00 aux halles de St-jean
- Ville de Québec, le 13 décembre de 9h30 à 16h30 à la Place Jacques Cartier
- Montréal: le 12 décembre de 10h à 17h au café Laika
- et d’autres adresses partout au Québec
Attention: Il faut envoyer des cartes de soutien, d’encouragements, mais sans message de Noël, l’Arabie Saoudite est un pays musulman qui ne fête pas Noël.
Amnistie internationale va bientôt diffuser une adresse sur son site où vous pourrez vous-même envoyer vos cartes de n’importe où dans le monde et elles seront acheminées à Nathalie et au gouvernement saoudien.
On vous attend nombreux aux différents marathons de l’écriture ! Amenez vos amis, vos familles, vos collègues et votre coeur pour encourager Nathalie à garder la force pour ses enfants de se battre jusqu’à son retour!
Vidéo réalisée par Amnistie internationale, votre signature est plus puissante que vous l’imaginez…
Article paru dans Al Bishah – 25 février 2009
Voici la traduction réalisée par les services gouvernementaux canadiens d’un article paru dans AlBishah.com le 25 février 2009. La famille de Saeed fait passer le message que les enfants saoudiens ne sont pas à vendre. Mais alors que la mère de Nathalie n’a JAMAIS proposé d’argent en échange de la liberté de sa fille et de ses petis-enfants, Saeed lui a demandé a plusieurs reprises de l’argent: le 25 février 2008 saeed, 20,000$, puis il a augmenté à 100,000$ et dernièrement, le 22 septembre 2009 il a demandé 300,000$ us au gouvernement canadien. Ses enfants ne sont pas à vendre, mais il aimerait bien qu’ils lui rapportent beaucoup d’argent.. Ne s’agit-il pas là d’une prise en otage?
[Photographe : « Nos enfants ne sont pas à vendre »]
La mère de Nathalie doit apprendre et saisir le rôle de la grand-mère dans la société saoudienne.
Bishah Aujourd’hui – Abdullah Al-Maawi
M. Mousfer Ben Saeed Al-Fawaz, le député de Subaihi, un village situé au nord du Gouvernorat de Bishah, et l’oncle du citoyen Saeed Al-Shahrani, l’époux de Nathalie Morin, a déclaré que tous les membres de la famille Al-Fawaz à laquelle Saeed appartient, expriment leur mécontentement vis-à-vis la façon dont la mère de Nathalie Morin mène sa campagne dans les médias et il dit que cette campagne est pleine de contre vérités et de mensonges et elle vise à ternir la réputation de leur ville Bishah et leur pays, le Royaume d’Arabie saoudite, surtout l’offre financière que [la mère de Nathalie Morin] a faite en échange de la liberté des enfants Samir et Abdullah, les enfants de Saeed Al-Shahrani.
« Nos enfants ne sont pas à vendre et je souhaite que la mère de Nathalie, la grand-mère de Samir et Abdullah, apprenne et saisisse le rôle et le statut de la grand-mère dans la société saoudienne et son rôle dans l’unification et la préservation de la cohésion des familles de ses fils et ses filles au lieu d’essayer de séparer les petit-fils de leur père et leurs oncles et de le déraciner de leur patrie et leur société », réplique-t-il.
Il affirme qu’ils sont très attachés aux enfants Samir et Abdullah et qu’il est tout à fait impossible qu’ils acceptent d’abandonner ces enfants. C’est inacceptable.
La famille Al-Fawaz a dit qu’il y a trois ans ils ont été honorés par la visite de Nathalie Morin et leur fils Saeed et qu’ils n’hésiteront pas à leur faire bon accueil à nouveau dans leur village de Subaihi à tout moment.
Il [M. Mousfer Ben Saeed Al-Fawaz] ajoute que son père a passé 90 ans au service de sa patrie, le Royaume d’Arabie saoudite, 25 ans dans le domaine de la sûreté et de l’ordre public.
Nous avons l’espoir que Samir et Abdullah serviront ce pays avec fidélité et nous ne permettrons à personne de les empêcher de s’acquitter de leurs obligations. Notre plus grand espoir est que ces enfants puisent réaliser des accomplissements sans précédent pour leur pays.
Les frères de Saeed Al-Shahrani, Khazam Al-Shahrani et Mousfer Al-Shahrani, ainsi que le cousin de Saeed, Mohamed Ben Saeed Al-Shahrani, insistent qu’ils veulent que Samir et Abdullah vivent dans la société saoudienne, qui est une société musulmane, solidaire et cohésive. Ils se demandent pourquoi la grand-mère insiste pour que les enfants se séparent de leur père pour les « transplanter » à une société pleine de familles dysfonctionnelles, une société qui vit dans la décadence morale et le vagabondage.
Rami (13 ans), un des cousins de Saeed Al-Shahrani, voulait envoyer un message à la mère de Nathalie et à la presse canadienne. « Nos enfants ne sont pas à vendre », était son message, écrit en anglais.
Commentaire
Notre cher collègue Abdullah. Merci pour votre article! J’espère que Saeed vive une vie heureuse avec ses enfants dans leur pays et leur ville Bishah.
Salut à tout le monde.
Hamad Al-Matir Al-Yami
Journal Al-Watan
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